– 塞克斯顿 Un sacristain de choc !
Bien que n’étant pas vraiment à la pointe du progrès en matière d’arme blindée pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Armée britannique ne manque pas de tirer de précieuses conclusions de ses premières expériences contre les Panzer-Divisionen. L’une d’elles, qui se fait particulièrement jour en Afrique du Nord, est l’utilisation par les Allemands de pièces d’artillerie automotrices chenillées pour accompagner leurs formations mécanisées. Les engins automoteurs, tels le sIG33 sur châssis de Panzer II allongé ou le canon leFH18 sur Lorraine, ne sont encore que des improvisations, qui révèlent cependant des capacités d’évolution prometteuses. Un concept qui intéresse les autorités britanniques.
– 斯泰尔·阿格兹 Le Straßenpanzer (le « char de route »)
À la fin des années 1930, les Schnelle Truppen de l’Allemagne hitlérienne alignent un certain nombre d’automitrailleuses de reconnaissance à huit roues, ce sont les schwere Panzerspähwagen Sd.Kfz. 231, 232, et leur version radio, la Sd.Kfz. 263. Est-ce tout ? Non, c’est oublier que la Wehrmacht a récupéré des matériels similaires provenant du modeste arsenal de l’Österreichischen Bundesheer, à la suite de l’annexion de l’Autriche. Il s’agit en l’occurrence de la Steyr ADGZ, une automitrailleuse à huit roues initialement conçue pour des missions de maintien de l’ordre. Avec le véhicule chenillé Saurer Sd.Kfz. 254, l’ADGZ est le seul engin blindé autrichien conservé dans les rangs de la Wehrmacht après l’Anschluss.
继续阅读 →